Déséquilibres fréquents

Trop de fer dans le sang : comprendre et agir naturellement

Trop de fer dans le sang signifie un taux de fer trop élevé dans le sang. Il est également aussi appelé surcharge en fer ou hyperferritinémie, peut venir de plusieurs endroits. La plus connue est l’hémochromatose. Il s’agit d’une maladie génétique qui entraîne une accumulation progressive de fer dans l’organisme. Les excès peuvent aussi être liés à des facteurs alimentaires, des compléments mal adaptés, ou certaines pathologies inflammatoires. 🔎 Avant-proposLes conseils présentés dans cet article relèvent de propositions naturelles et d’une démarche de bien-être. En aucun cas, ils ne doivent être considérés comme des traitements médicaux. La naturopathie n’a pas vocation à soigner, diagnostiquer ou remplacer un suivi médical. Il est essentiel de consulter un médecin pour établir un diagnostic fiable et bénéficier d’un accompagnement adapté. Les pistes naturelles évoquées ici peuvent être envisagées en complément, une fois l’avis médical posé. Pourquoi un excès de fer est-il dangereux ? Le fer est essentiel au bon fonctionnement du corps, principalement pour la formation de l’hémoglobine c’est à dire le sang. . Mais en excès, il devient pro-oxydant. Ce qui peut favoriser: du stress oxydatif, des dommages cellulaires, des pathologies chroniques (foie, cœur, pancréas…). Des études médicales indiquent qu’un taux élevé de ferritine peut être associé à une augmentation de risque cardiovasculaire. Les causes fréquentes d’un taux de fer élevé L’une des causes principales d’un excès de fer dans le sang est l’hémochromatose héréditaire. Cette maladie génétique conduit à une absorption excessive du fer alimentaire, que l’organisme stocke dans les organes vitaux comme le foie, le cœur ou le pancréas, avec des conséquences parfois graves à long terme. Une autre cause fréquente est la supplémentation non encadrée en fer. Beaucoup de personnes prennent des compléments riches en fer pour lutter contre la fatigue, sans vérification préalable de leur statut, ce qui peut rapidement conduire à un excès. Des habitudes alimentaires déséquilibrées, notamment une consommation excessive de viande rouge, de foie ou d’abats, peuvent également favoriser une surcharge de trop de fer dans le sang surtout si ces apports ne sont pas contrebalancés par des aliments qui freinent l’absorption du fer. Par ailleurs, certaines maladies inflammatoires chroniques comme la polyarthrite rhumatoïde ou le diabète peuvent engendrer une hyperferritinémie, souvent en lien avec l’inflammation plus qu’avec un véritable excès de fer assimilable. Il y a alors une séquestration du fer en circulation : les taux de fer sérique diminuent, mais le taux de ferritine plasmatique augmente. Enfin, chez les patients recevant des transfusions régulières en cas de maladies du sang ou de traitements lourds, l’accumulation progressive de fer devient un problème inévitable, car le corps ne possède pas de mécanisme d’élimination du fer en excès. Symptômes d’un excès de fer Un taux de fer trop élevé dans le sang peut longtemps passer inaperçu. En effet, les premiers symptômes sont souvents discrets et peu spécifiques. La fatigue chronique est l’un des signes les plus fréquents du trop de fer dans le sang: paradoxalement, l’excès de fer perturbe l’équilibre cellulaire et favorise un stress oxydatif important, ce qui épuise l’organisme au lieu de le tonifier. Progressivement, des douleurs articulaires peuvent apparaître, en particulier au niveau des mains, des poignets ou des hanches, du fait de l’accumulation de fer dans les tissus conjonctifs. Le système digestif peut aussi être affecté: ballonnements, inconfort intestinal, nausées ou troubles du transit sont parfois les seuls signaux d’alerte. Dans les cas plus avancés, une teinte anormalement grisâtre ou bronzée de la peau peut se développer, en lien avec l’atteinte du foie ou des glandes endocrines. Enfin, la perte de libido ou des troubles hormonaux peuvent survenir, car l’excès de fer perturbe le bon fonctionnement des glandes impliquées dans la production hormonale. Approche naturopathique: comment réguler naturellement son taux de fer En tant que naturopathe, l’objectif est de rééquilibrer l’organisme de manière douce et durable. Voici les solutions naturelles à envisager contre le trop de fer dans le sang : 1. Adapter son alimentation Réduire les aliments riches en fer héminique (viandes rouges, abats etc) pour ceux non héminique comme les végétaux Éviter les cuissons acides dans des poêles en fonte , à la place la cuisson vapeur est plus adaptée  Favoriser les aliments inhibiteurs d’absorption du fer: thé vert, café, calcium, tanins. Cela ajoute d’autres vertues ! Manger davantage de fibres, qui limitent l’absorption intestinale du fer 2. Soutenir le foie, organe central de la régulation du fer Plantes drainantes: artichaut, chardon-marie, pissenlit Tisanes détox régulières Cure douce de desmodium pour soutenir la régénération hépatique L’application d’une bouillotte chaude sur le foie après le repas 3. Antioxydants naturels Un excès de fer favorise le stress oxydatif: il est donc essentiel d’enrichir l’alimentation en antioxydants comme par exemple: Curcuma, gingembre Fruits rouges, baies, baies de Goji Vitamine C naturelle (acérola), vitamine E, zinc, sélénium 4. Jeûne intermittent et repos digestif Le jeûne ou des périodes d’allègement alimentaire (ex. monodiète, bouillons) permettent à l’organisme de mieux réguler ses réserves minérales. Accompagnement personnalisé en naturopathie Chaque cas est unique. Un bilan naturopathique personnalisé permet d’identifier la cause profonde de la surcharge et de mettre en place un protocole naturel adapté. 👉 Découvrez l’approche de votre naturopathe à Paris 👉 prenez rendez-vous dès maintenant. Offrez-vous 7 jours pour retrouver votre énergie ! Un guide naturopathique (GRATUIT) pour un sommeil profond et réparateur. Conseils pratiques Rituels naturels Astuces alimentaires et hygiène de vie J’accès au guide

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L’intolérance à l’histamine: comprendre et agir naturellement

Vous ressentez des maux de tête inexpliqués, des démangeaisons cutanées ou des troubles digestifs après certains repas ? Il se peut que vous ayez une intolérance à l’histamine. Il s’agit d’une réaction du corps à un excès de cette substance. Peu connue cette intolérance peut perturber le quotidien. Heureusement, des approches naturelles permettent de mieux la comprendre et de la gérer efficacement. C’est ce que nous allons voir ensemble dans cet article.  Qu’est-ce que l’histamine ? Il faut savoir que l’histamine est une molécule naturellement présente dans notre organisme. Elle joue un rôle clé dans le système immunitaire, la digestion et la régulation du sommeil. Elle est également présente dans de nombreux aliments, principalement dans ceux qui sont fermentés ou vieillis. Pour rentrer rapidement dans la technique, l’enzyme diamine oxydase (DAO) dégrade l’excès d’histamine. Par contre, lorsque cette enzyme est déficiente ou trop chargée, l’histamine s’accumule, ce qui entraîne des symptômes. Symptômes de l’intolérance à l’histamine Les symptômes varient d’une personne à l’autre, mais les plus courantes sont: Maux de tête, migraines. Rougeurs, démangeaisons, urticaire. Troubles digestifs : ballonnements, diarrhées. Palpitations, hypotension. Congestion nasale, éternuements. Ces symptômes apparaissent généralement après la consommation d’aliments riches en histamine. Causes de l’intolérance à l’histamine L’intolérance à l’histamine survient généralement lorsque l’organisme ne parvient pas à dégrader correctement cette molécule, principalement à cause d’un déficit en diamine oxydase (DAO), l’enzyme responsable de son métabolisme. Ce déficit peut être génétique ou lié à des maladies intestinales comme le syndrome de l’intestin irritable, qui affectent la production de DAO. Une dysbiose intestinale (SIBO, intestin irritable …) peut surcharger le travail de cette enzyme, en conséquence, le taux d’histamine augmente avec le risque d’avoir une intolérance. Certains médicaments, comme les antidépresseurs ou les anti-inflammatoires, peuvent également bloquer l’activité de cette enzyme. Enfin, une alimentation riche en aliments fermentés comme par example les charcuteries, les fromages affinés ou de l’alcool peut aggraver la situation en apportant une surcharge d’histamine. Une autre cause possible est liée aussi à un fort taux d’œstrogènes (en cas de syndrome prémenstruel très présent, de cycle court etc.). Les œstrogènes vont augmenter les taux d’histamine.  Approche naturopathique pour gérer l’intolérance à l’histamine La naturopathie propose des solutions douces pour rééquilibrer l’organisme : 1. Adopter une alimentation adaptée Comme mentionné plus haut, il faut éviter les aliments riches en histamine ou libérateurs d’histamines. C’est-à-dire par exemple le fromage affinés, la charcuterie, les poissons fumés. Il y a aussi l’alcool comme le vin rouge, la bière ou alors les fruits secs, le chocolat. Mais aussi certains légumes comme les tomates, épinards, petits pois, choux et aubergines. (Voir une liste plus complète des aliments ) Privilégiez les aliments frais et non transformés, ensuite, vous pouvez introduire progressivement des aliments plus tolérés.    2. Renforcer la barrière intestinale Mais limiter les aliments riches en histamines ou libérateurs d’histamines n’est pas la seule stratégie possible. Comme nous l’avons vu, le problème peut venir d’une dysbiose intestinale. Un intestin en bonne santé dégrade mieux l’histamine. Des probiotiques spécifiques et une alimentation riche en fibres peuvent être bénéfiques. 3. Gérer le stress Le stress chronique peut exacerber les symptômes. Ainsi en cas d’épuisement avec très forte baisse de production de cortisol (type burn-out)  les taux d’histamine vont grimper, induisant potentiellement l’apparition de cette intolérance à l’histamine.  Des techniques de relaxation, comme la méditation ou la cohérence cardiaque, sont recommandées. L’intolérance à l’histamine peut être déroutante, mais avec une approche holistique et naturelle, il est possible de retrouver un équilibre et un bien-être au quotidien. L’intolérance à l’histamine est complexe et chaque personne est unique, c’est important de bien se faire accompagner.  La consultation avec un naturopathe  peut-être complémentaire à la médecine conventionnelle, en ayant une approche sur l’hygiène de vie au global, sans se substituer à un avis médical ni arrêt de traitement. Les conseils fournis ici ne sauraient se substituer à un avis médical, la naturopathie s’inscrit dans une démarche de complémentarité, n’arrêtez jamais un traitement en cours sans l’autorisation de votre médecin qui est le seul habilité à poser un diagnostic, prescrire ou modifier un traitement allopathique. Offrez-vous 7 jours pour retrouver votre énergie ! Un guide naturopathique (GRATUIT) pour un sommeil profond et réparateur. Conseils pratiques Rituels naturels Astuces alimentaires et hygiène de vie J’accès au guide

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Hernie hiatale remède de grand-mère: 6 solutions naturelles vraiment efficaces

La hernie hiatale est un trouble digestif fréquent, qui est souvent associé à des remontées d’acides, brûlures d’estomac ou alors des inconfort après les repas. Vous êtes de plus en plus nombreux à vous tourner vers des remèdes naturels de grand-mère avant de vous tourner vers des traitements médicamenteux. Voici 6 remèdes de grand-mère testés et approuvés pour soulager naturellement les symptômes d’une hernie hiatale.  Gardez toutefois à l’esprit que ces remèdes ne remplacent pas un avis médical : en cas de symptômes persistants ou gênants, n’hésitez pas à consulter un professionnel de santé. Top 6 des remèdes naturels: 1. Infusion de camomille La camomille allemande (ou matricaire), par son action anti-inflammatoire et gastro-protectrices apaise l’estomac et diminue l’inflammation. Buvez une tasse après chaque repas (minium 30 minutes après) pour réduire les reflux et favoriser une meilleure digestion. 2. Vinaigre de cidre dilué Mélangez une cuillère à soupe dans un verre d’eau tiède avec une touche de miel. En effet, le vinaigre de cidre stimule la production de sucs gastriques et donc l’ensemble de la digestion. Bien la prendre avant le repas.  Attention cependant chez certaines personnes il peut ne pas être alcalinisant et augmenter l’acidité dans l’estomac, prenez donc une petite quantité au début. 3. Miel à jeun Une recette très connue est l’utilisation du miel pour ses propriétés cicatrisantes et apaisantes. Souvent utile pour la gorge, le miel est ici très intéressant avec une cuillère à prendre à jeun chaque matin. Celle-ci protège la muqueuse de l’œsophage et réduit l’acidité gastrique. Privilégier de préférence un miel bio, local, 100% pur non transformé ou pasteurisé. Le miel de manuka sera intéressant car très cicatrisant ou celui de lavande apaisant pour les troubles digestifs. 4. Gel d’aloe vera L’aloe vera apaise les irritations internes, il est cicatrisant et va donc protéger les parois du tube digestif.  2 cuillères à soupe de gel sans conservateurs, en fin de repas aide à réduire les inflammations liées à la hernie hiatale. 5. Surélever la tête du lit Plutôt un geste qu’une recette: pensez à sur-élever la tête avec un bon oreiller de 10 à 15cm pour éviter les remontées acides durant la nuit. Et après le repas éviter de vous allonger directement. 6. Éviter certains aliments Réduisez les aliments qui aggravent les symptômes comme par example le café, le chocolat, les plats épicés, les agrumes, l’alcool. Priorisez les légumes cuits à la vapeur et les protéines. Il convient également d’éviter de faire des gros repas trop lourd à digérer et de penser à bien mastiquer pendant le repas. Conclusion Adopter ces remèdes de grand-mère contre la hernie hiatale permet souvent de soulager les symptômes naturellement et de retrouver un meilleur confort digestif au quotidien. Bien entendu, chaque personne étant unique, il peut être utile d’être accompagné(e) par un professionnel. 👉 Si vous souhaitez en savoir plus sur la naturopathie et découvrir une approche globale de votre bien-être, vous pouvez consulter ma page d’accueil. 👉 Et si vous souhaitez être accompagné(e) dès maintenant, vous pouvez prendre rendez-vous directement avec moi. Les conseils fournis ici ne sauraient se substituer à un avis médical, la naturopathie s’inscrit dans une démarche de complémentarité, n’arrêtez jamais un traitement en cours sans l’autorisation de votre médecin qui est le seul habilité à poser un diagnostic, prescrire ou modifier un traitement allopathique. Sources :  Livre Ma bible de l’herboristerie Caroline Gayet et Michel Pierre Livre phytothérapie Dr Jean-Michel Morel Offrez-vous 7 jours pour retrouver votre énergie ! Un guide naturopathique (GRATUIT) pour un sommeil profond et réparateur. Conseils pratiques Rituels naturels Astuces alimentaires et hygiène de vie J’accès au guide

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Hypothyroïdie : Comprendre et agir naturellement pour retrouver son équilibre

Fatigue, prise de poids inexpliquée, baisse du moral, sécheresse de la peau, douleurs … et si c’était la thyroïde ? Qu’est ce que l’hypothyroïdie ? Dans notre cerveau l’hypophyse sécrète la TSH qui va stimuler la glande thyroïdienne. C’est cette thyroïde qui est LE régulateur central de l’organisme. A son tour elle va fabriquer et libère dans le sang des hormones thyroïdiennes capables d’agir sur l’ensemble des cellules de l’organisme : croissance osseuse, développement mental, transformation des graisses et des sucres, consommation d’énergie, température du corps, rythme du coeur, fonctionnement du tube digestif … elles permettent à l’organisme de s’adapter aux conditions extérieures.  Quand cette glande est en incapacité de produire suffisamment d’hormones thyroïdiennes, on parle alors d’hypothyroïdie. Source : amélie.fr Comprendre l’hypothyroïdie Les analyses biologiques prescrites par un médecins révèlent souvent, une TSH élevée en cas d’hypothyroïdie.  Cela peut être dû à une maladie auto-immune (Hashimoto), des carences, un stress chronique, des déséquilibres hormonaux etc. C’est pourquoi il est intéressant de considérer l’hypothyroïdie dans sa globalité (alimentation, stress, émotions, etc.) car en fonction de chacun les causes seront différentes :  Est-ce que la thyroïde produit bien les hormones  ?  Est-ce qu’elle convertit bien T4 en T3 ?  Est-ce que les hormones thyroïdiennes rentrent bien dans les cellules ? Une approche holistique et naturelle: Combler les carences Des analyses biologique demandées par un médecin, peuvent mettre en lumière des carences.  En fonction, il faudra privilégier l’apport d’aliments qui contiennent les cofacteurs nécessaires pour son bon fonctionnement, c’est le cas notamment :  De l’iode : indispensable à la production des hormones thyroïdiennes. Les algues seront vos meilleures amies, tout comme les poissons. Vitamines du groupe B, zinc, selenium, manganese seront eux nécessaires pour convertir T4 en T3 (Alimentation crues, graines germés, poissons, algues, légumes verts…) Selenium : permet d’activer l’iode pour qu’il soit fixé sur les hormones thyroïdiennes, et intervient dans la conversion T4 en T3 (noix du brésil, thon, oeufs …) Vitamine D et Oméga 3 (petits poissons, graines et huiles de lin, chanvre, caméline …) Avoir une bonne alimentation ➡️ Consommer suffisamment de protéines (0,8g/kg de poids de corps/jours) ➡️ Hypotoxique: aliments non transformés, sans additifs alimentaires, brut, bio et de saison ➡️ Attention aux aliments goitrogène cru à limiter (la famille des choux). Ils ralentissent le fonctionnement de la thyroïde en inhibant la captation de l’iode. En cas de maladies auto-immune: La limitation voir la suppression du gluten et produit laitier peut être bénéfique. Souvent lié à un intestin perméable, les protéines du gluten (gliadine) et du lait (caséine) sont pro-inflammatoires et se retrouvent ensuite dans le sang. Le corps fabrique des anticorps pour lutter, mais ces protéines ressemblant fortement à d’autres nécessaires au corps. Le corps ne fait alors plus la distinction et donc favorise les maladies auto-immunes.  D’autres conseils à mettre en place facilement et naturellement : Gestion du stress Un stress engendre un pic de cortisol dans l’organisme. L’excès de cortisol prend la place de la T3 sur le récepteur cellulaire, qui ne pourra donc plus s’y fixer et agir dans les cellules.  Vous pouvez donc pratiquer des exercices de respiration, la cohérence cardiaque ou du yoga doux pour mieux gérer le stress. Pratiquer un exercice physique Au quotidien, un exercice physique que ce soit la pratique d’un sport ou de marcher, d’être actif permet une bonne oxygénation des cellules et de réguler le métabolisme.  Bien dormir Le sommeil est crucial dans la récupération du sytème hormonal. Avec des temps de pauses dans votre quotidien, cela permet aussi de bien se reposer, surtout en cas de coup de pompe. Un coup de pouce des plantes Comme la conversion de T4 à T3 peut se faire aussi dans le foie, il convient de le chouchouter avec des plantes hépatiques comme le chardon-marie, en tisane. Plantes adaptogènes comme l’ashwagandha : augmente la production de T4 (grâce aux principes actifs de withanolides qui stimulent la glande) et permet d’agir sur le stress. Le coléus (le principe actif de forskoline accroît la production d’hormones thyroïdienne et stimule leur libération)  Chanter Le chant ou les vibrations de la voix, permettent de stimuler cette glande. Éviter les toxiques Que ce soit les pesticides dans votre alimentation, les perturbateurs endocriniens ou le tabac, il convient au global de les éviter au possible. Faire sortir les émotions Symboliquement un problème à la thyroïde peut signifier  “qu’est ce qu’on ne dit pas et qui reste bloqué là ?” Faites donc sortir les émotions à travers des séances avec un thérapeute ou par l’écriture sur un carnet pour libérer les pensées. Mieux comprendre sa thyroïde, c’est déjà aller mieux.  Chaque hypothyroïdie est unique, c’est important de bien se faire accompagner.  La consultation avec un naturopathe  peut-être complémentaire à la médecine conventionnelle, en ayant une approche sur l’hygiène de vie au global, sans se substituer à un avis médical ni arrêt de traitement. Les conseils fournis ici ne sauraient se substituer à un avis médical, la naturopathie s’inscrit dans une démarche de complémentarité, n’arrêtez jamais un traitement en cours sans l’autorisation de votre médecin qui est le seul habilité à poser un diagnostic, prescrire ou modifier un traitement allopathique. Sources :  Ameli.fr – Comprendre hypothyroidie Livre « Thyroïde les solutions naturelles » Dr Philippe Veroli Livre « En finir avec l’hypothyroïdie » Dr Claeys Livre phytothérapie Dr Jean-Michel Morel Offrez-vous 7 jours pour retrouver votre énergie ! Un guide naturopathique (GRATUIT) pour un sommeil profond et réparateur. Conseils pratiques Rituels naturels Astuces alimentaires et hygiène de vie J’accès au guide

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Panaris traitement naturel: 5 traitements efficaces pour soulager l’infection

Cet article sur le panaris traitement naturel a pour but de vous apprendre ce qu’est un panaris et comment le traitement de manière naturelle. Le panaris, également appelé « mal blanc », est une infection douloureuse qui affecte généralement les doigts ou les orteils. La plupart du temps cela se situe autour de l’ongle. Il est causé par des bactéries, principalement le staphylocoque doré, qui pénètrent la peau suite à une petite blessure. Si elle n’est pas traitée rapidement, l’infection peut évoluer en abcès. Heureusement, des traitements naturels peuvent aider à soulager les symptômes et à favoriser la guérison. Attention, dans tous les cas il convient de consulter un professionnel de santé pharmacien, médecin et de suivre leurs conseils.  Panaris traitement naturel: mes conseils En complément ou pour soulager les symptômes à un stade précoce, plusieurs remèdes naturels peuvent être utilisés autre qu’une consultation en naturopathie :  1- Bains d’eau tiède et de gros sel: Plongez le doigt ou l’orteil affecté dans une solution d’eau tiède salée (une cuillère à soupe de gros sel dans un bol d’eau) pendant 10 à 15 minutes, plusieurs fois par jour. Ce bain aide à réduire l’inflammation et à favoriser le drainage de l’infection 2- Application d’oignon chaud: L’oignon possède des propriétés antibactériennes et anti-inflammatoires. Chauffez une moitié d’oignon au four ou à la vapeur, puis appliquez-la sur la zone infectée pendant environ une heure, en la maintenant en place avec un bandage. Répétez ce traitement deux à trois fois par jour. Cette méthode est plutôt rare.  3- Utilisation de miel : Le miel est reconnu pour ses propriétés antiseptiques, notamment celui de Manuka. Appliquer une fine couche de miel sur le panaris peut aider à désinfecter la zone et à accélérer la guérison. 4- Huiles essentielles : Certaines huiles essentielles, comme celles de lavande fine, de laurier noble et de niaouli, peuvent être appliquées localement pour leurs effets antiseptiques et cicatrisants. Il est important de les diluer correctement avant application. Et prudence notamment sur le laurier noble, contre-indiqué en cas de grossesse, allaitement et enfants de moins de 8 ans. 5- Cataplasmes d’argile verte : L’argile verte peut être utilisée en cataplasme pour ses propriétés absorbantes et purifiantes, aidant à extraire le pus et à réduire l’inflammation. Pour faire un cataplasme, il faut mettre l’argile concassée, dans un bol en verre avec une spatule en bois uniquement, puis verser de l’eau de source ou filtrée dessus. Attendre quelques minutes pour que l’argile s’imprègne de l’eau. Ensuite prendre du tissus ou sopalin, placer l’argile dessus en couche épaisse et sur l’endroit voulu puis l’envelopper de tissus ou de bande pour maintenir en place le cataplasme d’argile. Il peut être appliqué plusieurs heures ou jusqu’à ce que l’argile sèche. Si vous êtes amené à en faire à répétition, une consultation de naturopathe peut être bénéfique pour agir en prévention. Les conseils fournis ici ne sauraient se substituer à un avis médical, la naturopathie s’inscrit dans une démarche de complémentarité, n’arrêtez jamais un traitement en cours sans l’autorisation de votre médecin qui est le seul habilité à poser un diagnostic, prescrire ou modifier un traitement allopathique. Quand consulter un professionnel de santé ? Il est essentiel de consulter un médecin si: Les symptômes persistent ou s’aggravent après 48 heures de traitement naturel. Un abcès se forme. Vous ressentez de la fièvre ou des frissons. Vous êtes diabétique ou immunodéprimé. Prévention Pour prévenir l’apparition d’un panaris, il est recommander d’éviter de se ronger les ongles ou d’arracher les petites peaux autour, de désinfecter toute plaie ou coupure immédiatement, d’utiliser des outils propres pour la manucure ou la pédicure, porter des gants lors des travaux manuels ou de jardinage.  Sources :  Ameli.fr – Panaris : définition, causes et symptômes Santé Magazine – Soigner rapidement son panaris Plantes et Santé – Soigner un panaris avec les plantes Vidal – panaris Livre phytothérapie Dr Jean-Michel Morel

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