Déséquilibres fréquents

gestion du stress chronique

Comment soulager le stress chronique ? 6 astuces naturelles grâce à la naturopathie

Le stress est devenu un mal courant dans nos sociétés modernes. Pression professionnelle, surcharge mentale, rythme effréné… notre organisme est souvent mis à rude épreuve.  Le stress chronique est une réaction prolongée de l’organisme face à des situations perçues comme menaçantes ou exigeantes. Contrairement au stress aigu, qui est ponctuel et parfois bénéfique, le stress chronique s’installe dans la durée et peut entraîner de graves conséquences sur la santé : anxiété, troubles du sommeil, dépression, hypertension, affaiblissement du système immunitaire, etc Le stress chronique déclenche une sécrétion continue d’hormones comme le cortisol et l’adrénaline. Cette stimulation permanente épuise l’organisme et déséquilibre de nombreux systèmes (nerveux, hormonal, digestif) La naturopathie propose une approche globale et naturelle pour apaiser durablement le stress. Découvrons ensemble comment cette médecine douce peut vous aider à retrouver votre sérénité. Qu’est ce que la naturopathie peut faire face au stress ? La naturopathie repose sur le principe de rééquilibrer l’organisme par des moyens naturels : alimentation, hygiène de vie, gestion des émotions, phytothérapie, etc. Le naturopathe ne traite pas seulement les symptômes du stress (fatigue, nervosité, insomnies…), mais en recherche la cause profonde. Identifier les causes du stress : un préalable essentiel Avant de proposer des solutions, le naturopathe cherche à comprendre l’origine du stress : Surcharge de travail ou responsabilités familiales Déséquilibre alimentaire ou carences Mauvaise respiration ou sédentarité Blocages émotionnels ou troubles du sommeil Un bilan de vitalité permet d’évaluer les surcharges et carences de l’organisme, et de proposer un accompagnement personnalisé. L’alimentation anti-stress : clé de l’équilibre nerveux Certains aliments soutiennent le système nerveux et aident à mieux résister au stress : Magnésium (oléagineux, chocolat noir, légumineuses) : relaxant naturel. Oméga-3 (poissons gras, graines de lin, noix) : soutien du cerveau et équilibre émotionnel. Éviter : café, sucre raffiné, alcool, excitants qui perturbent le système nerveux. Vitamine B (céréales complètes, légumes verts) : indispensable à la régulation du système nerveux. La respiration, outil puissant contre le stress Le stress modifie notre respiration (plus courte, plus haute), ce qui active le système nerveux sympathique (celui de la fuite/combat). En réapprenant à respirer profondément, on relance le système parasympathique (celui de la détente). Cohérence cardiaque Avoir un temps d’inspiration et d’expiration identique.Par exemple 5 secondes d’inspiration et 5 secondes d’expiration pendant 5 minutes. Respiration abdominale Elle consiste à inspirer en gonflant le ventre et à expirer en le vidant.Cette respiration est celle qui permet une meilleure détente Marche consciente en nature Prendre le temps de se revitaliser en pleine nature. La nature aura un effet direct apaisant sur l’organisme. Plantes adaptogènes et remèdes naturels La phytothérapie est une alliée précieuse contre le stress : Rhodiola et Ashwagandha : plantes adaptogènes qui régulent le cortisol. Passiflore, Valériane, Aubépine : pour apaiser les tensions et améliorer le sommeil. Toujours demander l’avis d’un professionnel avant d’entamer une cure, surtout en cas de traitements médicamenteux. Hygiène de vie et gestion des émotions Le stress s’accumule quand l’organisme ne parvient plus à évacuer les tensions. La naturopathie propose plusieurs outils pour y remédier : ✓ Activité physique régulière et adaptée, s’activer au quotidien. ✓ Techniques de relaxation (yoga, soprhologie, méditation). ✓ Fleurs de Bach, pour accompagner les états émotionnels. ✓ Massage bien-être, comme le massage crânien que je propose en cabinet ou de la réflexologie plantaire. Chaque personne est unique. Le rôle du naturopathe est d’adapter ses conseils à votre terrain, votre rythme de vie et vos besoins. Il vous aide à retrouver une autonomie de santé, dans le respect de votre corps et de vos émotions. En résumé : 6 piliers pour apaiser le stress naturellement Équilibrer son alimentation. Soutenir le système nerveux avec des plantes. Respirer en conscience. Bouger régulièrement. Dormir suffisamment, pour privilégier un sommeil réparateur, une consultation sommeil peut-être bénéfique. Être accompagné dans sa gestion émotionnelle. 💬 Besoin d’aide pour apaiser votre stress naturellement ? Je vous accueille en consultation de naturopathie sur Vincennes ou à distance, pour un bilan personnalisé et vous proposer un accompagnement adapté à votre situation. Ensemble, nous mettrons en place des outils concrets pour retrouver votre équilibre intérieur.  Prenez rendez-vous dès maintenant ou contactez-moi pour en savoir plus ! Offrez-vous 7 jours pour retrouver votre énergie ! Un guide naturopathique (GRATUIT) pour un sommeil profond et réparateur. Conseils pratiques Rituels naturels Astuces alimentaires et hygiène de vie J’accès au guide

Comment soulager le stress chronique ? 6 astuces naturelles grâce à la naturopathie Lire la suite »

Trop de fer dans le sang : comprendre et agir naturellement

Trop de fer dans le sang signifie un taux de fer trop élevé dans le sang. Il est également aussi appelé surcharge en fer ou hyperferritinémie, peut venir de plusieurs endroits. La plus connue est l’hémochromatose. Il s’agit d’une maladie génétique qui entraîne une accumulation progressive de fer dans l’organisme. Les excès peuvent aussi être liés à des facteurs alimentaires, des compléments mal adaptés, ou certaines pathologies inflammatoires. 🔎 Avant-proposLes conseils présentés dans cet article relèvent de propositions naturelles et d’une démarche de bien-être. En aucun cas, ils ne doivent être considérés comme des traitements médicaux. La naturopathie n’a pas vocation à soigner, diagnostiquer ou remplacer un suivi médical. Il est essentiel de consulter un médecin pour établir un diagnostic fiable et bénéficier d’un accompagnement adapté. Les pistes naturelles évoquées ici peuvent être envisagées en complément, une fois l’avis médical posé. Pourquoi un excès de fer est-il dangereux ? Le fer est essentiel au bon fonctionnement du corps, principalement pour la formation de l’hémoglobine c’est à dire le sang. . Mais en excès, il devient pro-oxydant. Ce qui peut favoriser: du stress oxydatif, des dommages cellulaires, des pathologies chroniques (foie, cœur, pancréas…). Des études médicales indiquent qu’un taux élevé de ferritine peut être associé à une augmentation de risque cardiovasculaire. Les causes fréquentes d’un taux de fer élevé L’une des causes principales d’un excès de fer dans le sang est l’hémochromatose héréditaire. Cette maladie génétique conduit à une absorption excessive du fer alimentaire, que l’organisme stocke dans les organes vitaux comme le foie, le cœur ou le pancréas, avec des conséquences parfois graves à long terme. Une autre cause fréquente est la supplémentation non encadrée en fer. Beaucoup de personnes prennent des compléments riches en fer pour lutter contre la fatigue, sans vérification préalable de leur statut, ce qui peut rapidement conduire à un excès. Des habitudes alimentaires déséquilibrées, notamment une consommation excessive de viande rouge, de foie ou d’abats, peuvent également favoriser une surcharge de trop de fer dans le sang surtout si ces apports ne sont pas contrebalancés par des aliments qui freinent l’absorption du fer. Par ailleurs, certaines maladies inflammatoires chroniques comme la polyarthrite rhumatoïde ou le diabète peuvent engendrer une hyperferritinémie, souvent en lien avec l’inflammation plus qu’avec un véritable excès de fer assimilable. Il y a alors une séquestration du fer en circulation : les taux de fer sérique diminuent, mais le taux de ferritine plasmatique augmente. Enfin, chez les patients recevant des transfusions régulières en cas de maladies du sang ou de traitements lourds, l’accumulation progressive de fer devient un problème inévitable, car le corps ne possède pas de mécanisme d’élimination du fer en excès. Symptômes d’un excès de fer Un taux de fer trop élevé dans le sang peut longtemps passer inaperçu. En effet, les premiers symptômes sont souvents discrets et peu spécifiques. La fatigue chronique est l’un des signes les plus fréquents du trop de fer dans le sang: paradoxalement, l’excès de fer perturbe l’équilibre cellulaire et favorise un stress oxydatif important, ce qui épuise l’organisme au lieu de le tonifier. Progressivement, des douleurs articulaires peuvent apparaître, en particulier au niveau des mains, des poignets ou des hanches, du fait de l’accumulation de fer dans les tissus conjonctifs. Le système digestif peut aussi être affecté: ballonnements, inconfort intestinal, nausées ou troubles du transit sont parfois les seuls signaux d’alerte. Dans les cas plus avancés, une teinte anormalement grisâtre ou bronzée de la peau peut se développer, en lien avec l’atteinte du foie ou des glandes endocrines. Enfin, la perte de libido ou des troubles hormonaux peuvent survenir, car l’excès de fer perturbe le bon fonctionnement des glandes impliquées dans la production hormonale. Approche naturopathique: comment réguler naturellement son taux de fer En tant que naturopathe, l’objectif est de rééquilibrer l’organisme de manière douce et durable. Voici les solutions naturelles à envisager contre le trop de fer dans le sang : 1. Adapter son alimentation Réduire les aliments riches en fer héminique (viandes rouges, abats etc) pour ceux non héminique comme les végétaux Éviter les cuissons acides dans des poêles en fonte , à la place la cuisson vapeur est plus adaptée  Favoriser les aliments inhibiteurs d’absorption du fer: thé vert, café, calcium, tanins. Cela ajoute d’autres vertues ! Manger davantage de fibres, qui limitent l’absorption intestinale du fer 2. Soutenir le foie, organe central de la régulation du fer Plantes drainantes: artichaut, chardon-marie, pissenlit Tisanes détox régulières Cure douce de desmodium pour soutenir la régénération hépatique L’application d’une bouillotte chaude sur le foie après le repas 3. Antioxydants naturels Un excès de fer favorise le stress oxydatif: il est donc essentiel d’enrichir l’alimentation en antioxydants comme par exemple: Curcuma, gingembre Fruits rouges, baies, baies de Goji Vitamine C naturelle (acérola), vitamine E, zinc, sélénium 4. Jeûne intermittent et repos digestif Le jeûne ou des périodes d’allègement alimentaire (ex. monodiète, bouillons) permettent à l’organisme de mieux réguler ses réserves minérales. Accompagnement personnalisé en naturopathie Chaque cas est unique. Un bilan naturopathique personnalisé permet d’identifier la cause profonde de la surcharge et de mettre en place un protocole naturel adapté. 👉 Découvrez l’approche de votre naturopathe à Paris 👉 prenez rendez-vous dès maintenant. Offrez-vous 7 jours pour retrouver votre énergie ! Un guide naturopathique (GRATUIT) pour un sommeil profond et réparateur. Conseils pratiques Rituels naturels Astuces alimentaires et hygiène de vie J’accès au guide

Trop de fer dans le sang : comprendre et agir naturellement Lire la suite »

L’intolérance à l’histamine: comprendre et agir naturellement

Vous ressentez des maux de tête inexpliqués, des démangeaisons cutanées ou des troubles digestifs après certains repas ? Il se peut que vous ayez une intolérance à l’histamine. Il s’agit d’une réaction du corps à un excès de cette substance. Peu connue cette intolérance peut perturber le quotidien. Heureusement, des approches naturelles permettent de mieux la comprendre et de la gérer efficacement. C’est ce que nous allons voir ensemble dans cet article.  Qu’est-ce que l’histamine ? Il faut savoir que l’histamine est une molécule naturellement présente dans notre organisme. Elle joue un rôle clé dans le système immunitaire, la digestion et la régulation du sommeil. Elle est également présente dans de nombreux aliments, principalement dans ceux qui sont fermentés ou vieillis. Pour rentrer rapidement dans la technique, l’enzyme diamine oxydase (DAO) dégrade l’excès d’histamine. Par contre, lorsque cette enzyme est déficiente ou trop chargée, l’histamine s’accumule, ce qui entraîne des symptômes. Symptômes de l’intolérance à l’histamine Les symptômes varient d’une personne à l’autre, mais les plus courantes sont: Maux de tête, migraines. Rougeurs, démangeaisons, urticaire. Troubles digestifs : ballonnements, diarrhées. Palpitations, hypotension. Congestion nasale, éternuements. Ces symptômes apparaissent généralement après la consommation d’aliments riches en histamine. Causes de l’intolérance à l’histamine L’intolérance à l’histamine survient généralement lorsque l’organisme ne parvient pas à dégrader correctement cette molécule, principalement à cause d’un déficit en diamine oxydase (DAO), l’enzyme responsable de son métabolisme. Ce déficit peut être génétique ou lié à des maladies intestinales comme le syndrome de l’intestin irritable, qui affectent la production de DAO. Une dysbiose intestinale (SIBO, intestin irritable …) peut surcharger le travail de cette enzyme, en conséquence, le taux d’histamine augmente avec le risque d’avoir une intolérance. Certains médicaments, comme les antidépresseurs ou les anti-inflammatoires, peuvent également bloquer l’activité de cette enzyme. Enfin, une alimentation riche en aliments fermentés comme par example les charcuteries, les fromages affinés ou de l’alcool peut aggraver la situation en apportant une surcharge d’histamine. Une autre cause possible est liée aussi à un fort taux d’œstrogènes (en cas de syndrome prémenstruel très présent, de cycle court etc.). Les œstrogènes vont augmenter les taux d’histamine.  Approche naturopathique pour gérer l’intolérance à l’histamine La naturopathie propose des solutions douces pour rééquilibrer l’organisme : 1. Adopter une alimentation adaptée Comme mentionné plus haut, il faut éviter les aliments riches en histamine ou libérateurs d’histamines. C’est-à-dire par exemple le fromage affinés, la charcuterie, les poissons fumés. Il y a aussi l’alcool comme le vin rouge, la bière ou alors les fruits secs, le chocolat. Mais aussi certains légumes comme les tomates, épinards, petits pois, choux et aubergines. (Voir une liste plus complète des aliments ) Privilégiez les aliments frais et non transformés, ensuite, vous pouvez introduire progressivement des aliments plus tolérés.    2. Renforcer la barrière intestinale Mais limiter les aliments riches en histamines ou libérateurs d’histamines n’est pas la seule stratégie possible. Comme nous l’avons vu, le problème peut venir d’une dysbiose intestinale. Un intestin en bonne santé dégrade mieux l’histamine. Des probiotiques spécifiques et une alimentation riche en fibres peuvent être bénéfiques. 3. Gérer le stress Le stress chronique peut exacerber les symptômes. Ainsi en cas d’épuisement avec très forte baisse de production de cortisol (type burn-out)  les taux d’histamine vont grimper, induisant potentiellement l’apparition de cette intolérance à l’histamine.  Des techniques de relaxation, comme la méditation ou la cohérence cardiaque, sont recommandées. L’intolérance à l’histamine peut être déroutante, mais avec une approche holistique et naturelle, il est possible de retrouver un équilibre et un bien-être au quotidien. L’intolérance à l’histamine est complexe et chaque personne est unique, c’est important de bien se faire accompagner.  La consultation avec un naturopathe  peut-être complémentaire à la médecine conventionnelle, en ayant une approche sur l’hygiène de vie au global, sans se substituer à un avis médical ni arrêt de traitement. Les conseils fournis ici ne sauraient se substituer à un avis médical, la naturopathie s’inscrit dans une démarche de complémentarité, n’arrêtez jamais un traitement en cours sans l’autorisation de votre médecin qui est le seul habilité à poser un diagnostic, prescrire ou modifier un traitement allopathique. Offrez-vous 7 jours pour retrouver votre énergie ! Un guide naturopathique (GRATUIT) pour un sommeil profond et réparateur. Conseils pratiques Rituels naturels Astuces alimentaires et hygiène de vie J’accès au guide

L’intolérance à l’histamine: comprendre et agir naturellement Lire la suite »

Hernie hiatale remède de grand-mère: 6 solutions naturelles vraiment efficaces

La hernie hiatale est un trouble digestif fréquent, qui est souvent associé à des remontées d’acides, brûlures d’estomac ou alors des inconfort après les repas. Vous êtes de plus en plus nombreux à vous tourner vers des remèdes naturels de grand-mère avant de vous tourner vers des traitements médicamenteux. Voici 6 remèdes de grand-mère testés et approuvés pour soulager naturellement les symptômes d’une hernie hiatale.  Gardez toutefois à l’esprit que ces remèdes ne remplacent pas un avis médical : en cas de symptômes persistants ou gênants, n’hésitez pas à consulter un professionnel de santé. Top 6 des remèdes naturels: 1. Infusion de camomille La camomille allemande (ou matricaire), par son action anti-inflammatoire et gastro-protectrices apaise l’estomac et diminue l’inflammation. Buvez une tasse après chaque repas (minium 30 minutes après) pour réduire les reflux et favoriser une meilleure digestion. 2. Vinaigre de cidre dilué Mélangez une cuillère à soupe dans un verre d’eau tiède avec une touche de miel. En effet, le vinaigre de cidre stimule la production de sucs gastriques et donc l’ensemble de la digestion. Bien la prendre avant le repas.  Attention cependant chez certaines personnes il peut ne pas être alcalinisant et augmenter l’acidité dans l’estomac, prenez donc une petite quantité au début. 3. Miel à jeun Une recette très connue est l’utilisation du miel pour ses propriétés cicatrisantes et apaisantes. Souvent utile pour la gorge, le miel est ici très intéressant avec une cuillère à prendre à jeun chaque matin. Celle-ci protège la muqueuse de l’œsophage et réduit l’acidité gastrique. Privilégier de préférence un miel bio, local, 100% pur non transformé ou pasteurisé. Le miel de manuka sera intéressant car très cicatrisant ou celui de lavande apaisant pour les troubles digestifs. 4. Gel d’aloe vera L’aloe vera apaise les irritations internes, il est cicatrisant et va donc protéger les parois du tube digestif.  2 cuillères à soupe de gel sans conservateurs, en fin de repas aide à réduire les inflammations liées à la hernie hiatale. 5. Surélever la tête du lit Plutôt un geste qu’une recette: pensez à sur-élever la tête avec un bon oreiller de 10 à 15cm pour éviter les remontées acides durant la nuit. Et après le repas éviter de vous allonger directement. 6. Éviter certains aliments Réduisez les aliments qui aggravent les symptômes comme par example le café, le chocolat, les plats épicés, les agrumes, l’alcool. Priorisez les légumes cuits à la vapeur et les protéines. Il convient également d’éviter de faire des gros repas trop lourd à digérer et de penser à bien mastiquer pendant le repas. Conclusion Adopter ces remèdes de grand-mère contre la hernie hiatale permet souvent de soulager les symptômes naturellement et de retrouver un meilleur confort digestif au quotidien. Bien entendu, chaque personne étant unique, il peut être utile d’être accompagné(e) par un professionnel. 👉 Si vous souhaitez en savoir plus sur la naturopathie et découvrir une approche globale de votre bien-être, vous pouvez consulter ma page d’accueil. 👉 Et si vous souhaitez être accompagné(e) dès maintenant, vous pouvez prendre rendez-vous directement avec moi. Les conseils fournis ici ne sauraient se substituer à un avis médical, la naturopathie s’inscrit dans une démarche de complémentarité, n’arrêtez jamais un traitement en cours sans l’autorisation de votre médecin qui est le seul habilité à poser un diagnostic, prescrire ou modifier un traitement allopathique. Sources :  Livre Ma bible de l’herboristerie Caroline Gayet et Michel Pierre Livre phytothérapie Dr Jean-Michel Morel Offrez-vous 7 jours pour retrouver votre énergie ! Un guide naturopathique (GRATUIT) pour un sommeil profond et réparateur. Conseils pratiques Rituels naturels Astuces alimentaires et hygiène de vie J’accès au guide

Hernie hiatale remède de grand-mère: 6 solutions naturelles vraiment efficaces Lire la suite »

Hypothyroïdie et Hashimoto: aliments à éviter pour protéger sa thyroïde

L’hypothyroïdie, notamment lorsqu’elle est liée à la maladie de Hashimoto, nécessite une attention particulière à l’alimentation. Certains aliments peuvent perturber le fonctionnement de la thyroïde et aggraver les symptômes. Adopter une alimentation adaptée est essentiel pour soutenir la santé thyroïdienne. 🚫 Aliments à éviter en cas d’hypothyroïdie et de Hashimoto Certains aliments sont à limiter ou à éviter pour préserver la santé de la thyroïde. Voici principalement ces aliments ainsi que la raison du pourquoi ils sont à éviter.  Gluten: présent dans le blé, l’orge et le seigle, il peut provoquer une réaction auto-immune chez les personnes atteintes de Hashimoto.  Produits laitiers: la caséine peut être inflammatoire et perturber la fonction thyroïdienne. Soja et ses dérivés : contiennent des isoflavones qui peuvent interférer avec la production des hormones thyroïdiennes.  Légumes crucifères crus: chou, brocoli, chou-fleur, navet, radis, riches en goitrogènes, peuvent inhiber l’absorption de l’iode. La cuisson réduit cet effet.  Aliments riches en iode: en excès, comme les algues et les fruits de mer, peuvent surstimuler la thyroïde, surtout en cas de Hashimoto.  Sucres raffinés et aliments ultra-transformés: favorisent l’inflammation et peuvent aggraver les troubles thyroïdiens. ✅ Aliments à privilégier Les aliments à privilégier pour la thyroïde sont:   Aliments riches en sélénium: noix du Brésil, thon, œufs, qui soutiennent la conversion des hormones thyroïdiennes. Sources de zinc: huîtres, foie, qui participent à la synthèse des hormones thyroïdiennes. Oméga-3: présents dans les poissons gras, les graines de lin, qui ont des propriétés anti-inflammatoires. Aliments riches en vitamines B, D et E: essentielles pour le métabolisme thyroïdien. Légumes cuits: pour réduire l’effet goitrogène des crucifères. Exemple de plan alimentaire pour l’hypothyroïdie     Petit-déjeuner: Porridge à base de flocons de sarrasin, lait d’amande, graines de chia, et quelques fruits rouges. Déjeuner: Filet de saumon grillé, quinoa, brocolis cuits à la vapeur, assaisonné avec de l’huile d’olive. Collation: Une poignée de noix du Brésil et une infusion de camomille. Dîner: Soupe de lentilles corail, légumes rôtis (carottes, courgettes), et une tranche de pain sans glute Ce menu évite les aliments goitrogènes crus et les produits inflammatoires, tout en apportant les nutriments essentiels au bon fonctionnement de la thyroïde Qu’est-ce que l’hypothyroïdie ? Source : amélie.fr Comprendre l’hypothyroïdie L’hypothyroïdie est un ce qu’on appel un trouble hormonal. Il provient d’un fonctionnement insuffisant de la glande thyroïde, située à la base du cou. Cette glande joue un rôle véritable role dans le corps puisqu’elle produit des  hormones (notamment la T3 et la T4) qui régulent de nombreuses fonctions comme par example le métabolisme, la température corporelle, la fréquence cardiaque, ou aussi l’énergie. Lorsque la thyroïde fonctionne au ralenti, elle ne libère pas assez d’hormones, ce qui entraîne un ralentissement général de l’organisme. Cela peut provoquer une grande fatigue, une prise de poids inexpliquée, une sensibilité au froid, une peau sèche, une perte de cheveux, des troubles de l’humeur ou encore des règles irrégulières chez les femmes. L’une des causes les plus fréquentes de l’hypothyroïdie est la maladie de Hashimoto, une pathologie auto-immune dans laquelle le système immunitaire attaque la thyroïde, perturbant son bon fonctionnement. C’est pourquoi on parle souvent d’hypothyroïdie d’origine auto-immune. Cette condition touche majoritairement les femmes, en particulier après 40 ans, mais elle peut aussi concerner les hommes, les enfants ou les adolescents. Elle peut apparaître progressivement, ce qui rend parfois son diagnostic difficile sans un dosage hormonal (TSH, T3, T4) via une prise de sang.   Heureusement, des approches naturelles peuvent accompagner efficacement la prise en charge de l’hypothyroïdie, en complément du traitement médical prescrit si nécessaire. Combler les carences pour la thyroïde Des analyses biologique demandées par un médecin, peuvent mettre en lumière des carences.  En fonction, il faudra privilégier l’apport d’aliments qui contiennent les cofacteurs nécessaires pour son bon fonctionnement, c’est le cas notamment :  De l’iode: indispensable à la production des hormones thyroïdiennes. Les algues seront vos meilleures amies, tout comme les poissons. Vitamines du groupe B, zinc, selenium, manganese seront eux nécessaires pour convertir T4 en T3 (Alimentation crues, graines germés, poissons, algues, légumes verts…) Selenium : permet d’activer l’iode pour qu’il soit fixé sur les hormones thyroïdiennes, et intervient dans la conversion T4 en T3 (noix du brésil, thon, oeufs …) Vitamine D et Oméga 3 (petits poissons, graines et huiles de lin, chanvre, caméline …) Avoir une bonne alimentation ➡️ Consommer suffisamment de protéines (0,8g/kg de poids de corps/jours) ➡️ Hypotoxique: aliments non transformés, sans additifs alimentaires, brut, bio et de saison ➡️ Attention aux aliments goitrogène cru à limiter (la famille des choux). Ils ralentissent le fonctionnement de la thyroïde en inhibant la captation de l’iode. En cas de maladies auto-immune: La limitation voir la suppression du gluten et produit laitier peut être bénéfique. Souvent lié à un intestin perméable, les protéines du gluten (gliadine) et du lait (caséine) sont pro-inflammatoires et se retrouvent ensuite dans le sang. Le corps fabrique des anticorps pour lutter, mais ces protéines ressemblant fortement à d’autres nécessaires au corps. Le corps ne fait alors plus la distinction et donc favorise les maladies auto-immunes.  D’autres conseils à mettre en place facilement et naturellement: Gestion du stress Un stress engendre un pic de cortisol dans l’organisme. L’excès de cortisol prend la place de la T3 sur le récepteur cellulaire, qui ne pourra donc plus s’y fixer et agir dans les cellules.  Vous pouvez donc pratiquer des exercices de respiration, la cohérence cardiaque ou du yoga doux pour mieux gérer le stress. Pratiquer un exercice physique Au quotidien, un exercice physique que ce soit la pratique d’un sport ou de marcher, d’être actif permet une bonne oxygénation des cellules et de réguler le métabolisme.  Bien dormir Le sommeil est crucial dans la récupération du sytème hormonal. Avec des temps de pauses dans votre quotidien, cela permet aussi de bien se reposer, surtout en cas de coup de pompe. Un coup de pouce des plantes Comme la conversion de T4 à T3 peut se faire aussi dans le foie, il convient de le chouchouter avec des plantes hépatiques comme le chardon-marie, en tisane. Plantes adaptogènes

Hypothyroïdie et Hashimoto: aliments à éviter pour protéger sa thyroïde Lire la suite »

Panaris traitement naturel: 5 traitements efficaces pour soulager l’infection

Cet article sur le panaris traitement naturel a pour but de vous apprendre ce qu’est un panaris et comment le traitement de manière naturelle. Le panaris, également appelé « mal blanc », est une infection douloureuse qui affecte généralement les doigts ou les orteils. La plupart du temps cela se situe autour de l’ongle. Il est causé par des bactéries, principalement le staphylocoque doré, qui pénètrent la peau suite à une petite blessure. Si elle n’est pas traitée rapidement, l’infection peut évoluer en abcès. Heureusement, des traitements naturels peuvent aider à soulager les symptômes et à favoriser la guérison. Attention, dans tous les cas il convient de consulter un professionnel de santé pharmacien, médecin et de suivre leurs conseils.  Panaris traitement naturel: mes conseils En complément ou pour soulager les symptômes à un stade précoce, plusieurs remèdes naturels peuvent être utilisés autre qu’une consultation en naturopathie :  1- Bains d’eau tiède et de gros sel: Plongez le doigt ou l’orteil affecté dans une solution d’eau tiède salée (une cuillère à soupe de gros sel dans un bol d’eau) pendant 10 à 15 minutes, plusieurs fois par jour. Ce bain aide à réduire l’inflammation et à favoriser le drainage de l’infection 2- Application d’oignon chaud: L’oignon possède des propriétés antibactériennes et anti-inflammatoires. Chauffez une moitié d’oignon au four ou à la vapeur, puis appliquez-la sur la zone infectée pendant environ une heure, en la maintenant en place avec un bandage. Répétez ce traitement deux à trois fois par jour. Cette méthode est plutôt rare.  3- Utilisation de miel : Le miel est reconnu pour ses propriétés antiseptiques, notamment celui de Manuka. Appliquer une fine couche de miel sur le panaris peut aider à désinfecter la zone et à accélérer la guérison. 4- Huiles essentielles : Certaines huiles essentielles, comme celles de lavande fine, de laurier noble et de niaouli, peuvent être appliquées localement pour leurs effets antiseptiques et cicatrisants. Il est important de les diluer correctement avant application. Et prudence notamment sur le laurier noble, contre-indiqué en cas de grossesse, allaitement et enfants de moins de 8 ans. 5- Cataplasmes d’argile verte : L’argile verte peut être utilisée en cataplasme pour ses propriétés absorbantes et purifiantes, aidant à extraire le pus et à réduire l’inflammation. Pour faire un cataplasme, il faut mettre l’argile concassée, dans un bol en verre avec une spatule en bois uniquement, puis verser de l’eau de source ou filtrée dessus. Attendre quelques minutes pour que l’argile s’imprègne de l’eau. Ensuite prendre du tissus ou sopalin, placer l’argile dessus en couche épaisse et sur l’endroit voulu puis l’envelopper de tissus ou de bande pour maintenir en place le cataplasme d’argile. Il peut être appliqué plusieurs heures ou jusqu’à ce que l’argile sèche. Si vous êtes amené à en faire à répétition, une consultation de naturopathe peut être bénéfique pour agir en prévention. Les conseils fournis ici ne sauraient se substituer à un avis médical, la naturopathie s’inscrit dans une démarche de complémentarité, n’arrêtez jamais un traitement en cours sans l’autorisation de votre médecin qui est le seul habilité à poser un diagnostic, prescrire ou modifier un traitement allopathique. Quand consulter un professionnel de santé ? Il est essentiel de consulter un médecin si: Les symptômes persistent ou s’aggravent après 48 heures de traitement naturel. Un abcès se forme. Vous ressentez de la fièvre ou des frissons. Vous êtes diabétique ou immunodéprimé. Prévention Pour prévenir l’apparition d’un panaris, il est recommander d’éviter de se ronger les ongles ou d’arracher les petites peaux autour, de désinfecter toute plaie ou coupure immédiatement, d’utiliser des outils propres pour la manucure ou la pédicure, porter des gants lors des travaux manuels ou de jardinage.  Sources :  Ameli.fr – Panaris : définition, causes et symptômes Santé Magazine – Soigner rapidement son panaris Plantes et Santé – Soigner un panaris avec les plantes Vidal – panaris Livre phytothérapie Dr Jean-Michel Morel

Panaris traitement naturel: 5 traitements efficaces pour soulager l’infection Lire la suite »

Retour en haut